Avec 365 by Zangersheide, fini d’attendre la grande vente de l’année.
Le nouveau projet lancé par Zangersheide, Tom Lemmens et Stijn Van Campenhout veut faire des ventes de chevaux un rendez-vous permanent, tous les jours de l’année.

Une vente en continu
« C’est une plateforme où on va mettre des chevaux en vente toute l’année, 365 jours sur 365. On a remarqué que le marché se fait de plus en plus en ligne et que les gens cherchent de plus en plus de bons chevaux», explique Tom Lemmens.
Chaque mardi, de nouveaux lots apparaissent, et chaque lundi soir, certaines ventes se clôturent.
Une mécanique simple, régulière, pensée pour que les acheteurs trouvent en permanence des chevaux à découvrir.

Qualité et transparence
Comme dans toutes les ventes Zangersheide, les chevaux proposés sur 365 sont sélectionnés, sains et corrects.
« On fait une sélection, les chevaux doivent être en bonne santé. Mais on a des chevaux pour tout le marché: de la personne qui cherche un très très bon cheval à l’amateur qui veut commencer avec une poulinière pleine. On se veut beaucoup plus large que la plupart des ventes « élite »», précise Tom Lemmens, collaborateur étroit du Z.

Les dernières ventes illustrent bien l’amplitude du projet : lors de la vente de juments d’élevage, les prix allaient de 3 500 à 67 000 euros. La plus chère est partie pour le Brésil, et plusieurs autres pour l’Amérique.

Tout en ligne, tout transparent
365 by Zangersheide s’appuie sur le même logiciel que les ventes Z.
Chaque cheval est présenté avec son pédigrée, ses photos, ses vidéos et un rapport vétérinaire complet.
« Pour moi, c’est très important que tout soit transparent et en ligne », insiste Tom Lemmens.

Des ventes pour tous
Le concept s’adresse à tous les profils : des poulinières, des chevaux sous la selle, des sauteurs en liberté ou encore des embryons.
« L’idée, c’est que les gens prennent l’habitude de dire : “ok, il y aura toujours des chevaux là-dessus”. Les clients pourront aller voir quand ils veulent », explique-t-il.
Côté vendeurs, le principe est tout aussi simple : un éleveur avec un, deux ou trois chevaux peut contacter l’équipe pour intégrer une vente.
« On a souvent des journées de tournage. On filme le cheval, et même pour un poulain ou un embryon, on peut faire la vente. »

D’ancrage belge à dimension européenne
Pour l’instant, la majorité des chevaux viennent de Belgique, des Pays-Bas et d’Allemagne.
Mais Lemmens et son équipe voient plus loin : « Il y aura aussi des produits de France, de Pologne, en Scandinavie et, à l’avenir, j’espère bien que ça s’élargira encore. »
Une nouvelle habitude à prendre
Avec 365 Auctions by Zangersheide, la maison Z propose une offre continue, ouverte et structurée, qui accompagne l’évolution naturelle du marché.
« On voit que le marché se déplace de plus en plus vers le digital. Il y a beaucoup de ventes, mais on veut offrir des chevaux pour tout le monde », martèle Tom Lemmens.
Un nouveau tempo pour le commerce du cheval : régulier, transparent et accessible toute l’année.
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